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  • Les accès des plages de l'île de Ré et de l'île d'Oléron sont issus de levés GPS réalisés entre janvier et octobre 2009. En plus de leur localisation, ils permettent d'avoir, par exemple, l'existence ou non d'un parking, la longueur et la largeur d'accès, son accessibilité...

  • Un inventaire exhaustif des écluses à poissons a été réalisé pour les estrans des îles de Ré et d’Oléron en 2012. La méthode utilisée est la digitalisation sous SIG de supports géographiques comme les SCAN-25 de l’IGN. Cet inventaire a été par la suite validé par des reconnaissances de terrain par l’association IODDE (J. Pigeot) pour les écluses oléronaises et par Ré-Nature-Environnement (P. Le Gall) pour les écluses rhétaises. Ainsi les écluses toujours en activité ont pu être différenciées des écluses non actives et disparues. Au début du XVIII ème siècle, l’île de Ré comptait 114 écluses ; aujourd’hui, seules 15 sont toujours en activité. De même, pour l’île d’Oléron : 117 écluses étaient comptabilisées au XVIII ème siècle pour seulement 17 en activité aujourd’hui.

  • Dordogne : Plan Local d'Urbanisme (PLU) Le plan local d'urbanisme (PLU) est le principal document d'urbanisme de planification de l'urbanisme au niveau communal ou éventuellement intercommunal. Il remplace le plan d'occupation des sols (POS) depuis la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du 13 décembre 2000, dite loi SRU[

  • La répartition de l’herbier de Zostera noltii Hornemann, 1832 sur les estrans de la pointe d’Arcay côté estuaire du Lay a été cartographiée les 8 et 26 novembre 2010 à partir de relevés à marée basse fait par dGPS Trimble (GéoExplorer GeoXT 2005) de précision submétrique. Cette carte est présentée dans la synthèse réalisée par Auby et al. (2010a, b) dans le volume des annexes (p. 141-145) à propos de la répartition des angiospermes des côtes françaises Manche-Atlantique dans les masses d’eau suivies dans le cadre de la DCE. L’herbier se présente sous la forme de quatre grandes entités disjointes réparties le long des estrans, rive droite, du chenal du Lay. Chaque entité est située à proximité d’un ancien crochon dunaire dont la succession depuis deux siècles caractérise la progression vers le Sud-Est de la pointe d’Arcay. De petites tâches éparses d’herbier sont notées dès le premier crochon dunaire jusqu’à l’îlot vaseux situé au centre du chenal au droit du lieu dit Les Caves. L’herbier est apparu dense à très dense. La présence de moulières intertidales à Mytilus edulis sur vase et de bancs de crépidules Crepidula fornicata en chaînes éparses drossées à la côte a été notée. Ni Zostera marina ni sa forme naine Zostera marina angustifolia n’ont été observées en 2010 sur le site et leur présence est jugée improbable. Cette cartographie sur estran des herbiers vient compléter les cartographies de végétation terrestre disponibles pour la Réserve de chasse et de faune sauvage de la pointe d’Arcay.

  • Impacts de foudre air-sol du 01/01/2014 au 31/12/2014. Ces données sont issues d'un export depuis l'application Météorage permettant d'afficher et d'analyser les événements foudre en temps réel (impacts air-air et air sol). Pour cet export seul les impacts air/sol ont été retenus.

  • Un faciès d’épifaune formé de l’hydraire Ectopleura dumortieri (van Beneden, 1844) associé au bryozoaire Electra pilosa (Linné, 1757) à fort développement estival a été cartographié sur les fonds de pêche de l’Ouest d’Oléron ainsi que le long des côtes d’Aquitaine entre Montalivet et Lacanau (Lagardère & Tardy, 1980). Ce faciès est qualifié de mousse (E. dumortieri) et poil de chien (E. pilosa) par les pêcheurs. Le faciès à Ectopleura dumortieri se développe sur des fonds côtier de 10 à 30 m ainsi que sur des fonds du large à Ditrupa arietina par 60-65 m. L’évolution saisonnière du développement estival d’Electra pilosa est très marquée sur les fonds côtiers et se termine à l’automne par des échouages à la côte de touffes de bryozoaires mêlées d’hydraires. Ce faciès est très riche en épibiontes et épifaune sessile et vagile. Les méthodes d’échantillonnage sont diverses et vont de prélèvements à la benne ou la drague (Lagardère, 1971) ou bien encore le chalut ou microchalut. Les données inventoriées reprennent les observations de travaux antérieurs (Lagardère, 1971) et nouvelles réalisées de 1975 à 1978. La répartition géographique de ce faciès ainsi que les différences de composition spécifique entre le Nord et le Sud de l’estuaire de la Gironde se superposent aux conditions de dépôts et transit d’éléments fins issus des eaux turbides de l’estuaire.

  • Impacts de foudre air-sol de 2006 à 2016 Ces données sont issues d'un export depuis l'application Météorage permettant d'afficher et d'analyser les événements foudre en temps réel (impacts air-air et air sol). Pour cet export seul les impacts air/sol ont été retenus.

  • Stocks (abundance and biomass) of the slipper limpet Crepidula fornicata Linnaeus, 1758 in the Pertuis Charentais shallows were estimated in 2011 and mapped (Sauriau et al., 2011). The influence of the estimate includes the Pertuis Breton, the eastern part Pertuis Antioch Fouras peninsula and the Bay of Marennes-Oléron where the latter earlier estimates are available. Contours and surface areas of the crepidula were previously determined by acoustic imaging performed aboard the VO/Haliotis in 2008 and 2009, interpreted and validated by spot sampling in 2009 (Curti, 2009). Sampling stocks of 2011 is based on a stratified random sample of 40 banks with a proportional distribution of sampling of 200 stations between banks. The listing for each crepidula bank stocks (abundance in millions, biomass in tonnes) both living and dead, these shells may provide support to potential new colonization.

  • A la demande de l’Agence des Aires Marines Protégées, un inventaire cartographique des habitats des sites Natura 2000 en mer de l’estuaire de la Gironde et des Pertuis charentais a été réalisé afin d’établir un état initial de référence des milieux naturels. Est ici présenté l’inventaire cartographique dévolu aux zones intertidales meubles et rocheuses des Pertuis Charentais comprenant le littoral depuis la Tranche sur Mer jusqu’à Bonne Anse. S’inspirant des protocoles REBENT et MESH, trois méthodes complémentaires ont été combinées pour cartographier ces habitats intertidaux (Cajeri et al., 2012). Elles combinent les inventaires terrain avec relevés GPS différentiel, la télédétection couplant analyse d’ortho littorales et de scènes du satellite KOMPSAT-2 puis l’intégration sous système d’information géographique (SIG). Le rendu cartographique est basé sur la typologie EUNIS de niveau 4. Les structures délimitées sur photographies aériennes et validées par les inventaires terrain sont interprétées à partir de scènes satellite soumises à classification hiérarchique permettant une discrimination en termes de nature de sol, type de végétation et présence de mares. La compilation des informations est réalisée sous SIG en respectant les contraintes d’échelle et de topologie. Cette étude permet de combler un vide majeur de connaissances en particulier pour les habitats rocheux et les habitats d’espèces dans les Pertuis Charentais, les habitats de substrats meubles ayant été décrits par Hily (1976) et interprétés en typologie EUNIS par le REBENT. La carte proposée des habitats intertidaux n’est cependant pas définitive. Elle devrait bénéficier d’ajouts apportés à la typologie EUNIS par l’incorporation de nouveaux habitats en cours de validation à l’échelle européenne.

  • La distribution géographique des principaux gisements du pétoncle Chlamys varia L. aujourd’hui nommé Mimachlamys varia (Linné, 1758) a été dressée en 1951 par Letaconnoux & Audouin (1956) pour la région de La Rochelle englobant les Pertuis Breton et d’Antioche. L’inventaire porte sur les principaux gisements naturels de pétoncle du Pertuis Breton, du Pertuis d’Antioche jusqu’au Pertuis de Maumusson puis détaille les structures d’âge de deux populations issues du banc du Bûcheron et du banc de la Flotte dans le Pertuis Breton. L’analyse des conditions thermiques et salines en 1951-1952 permet aux auteurs de préciser le régime hydrologique propre aux bancs de pétoncle : marin (30 à 35 de salinité) et non perturbé par l’influence des eaux peu salées issues des panache fluviaux de la Sèvre et de la Charente, zone peu profonde au-dessus de l’isobathe des -15 m jusqu’à l’infralittoral exondable. Sont localisés treize bancs de pétoncle dont cinq dans le Pertuis Breton (en particulier les bancs du Bûcheron et de La Flotte qui sont les plus étendus), sept dans le Pertuis d’Antioche (situé le long des côtes de La Rochelle et d’Angoulin et à proximité de l’île d’Aix) et un au cœur du bassin de Marennes-Oléron (à proximité du banc de Lamouroux). La toponymie des gisements de pétoncle est issue des cartes IGN actuelles sauf pour les bancs du Bûcheron et de la Flotte clairement identifiés par Letaconnoux & Audouin (1956).