Installations de suivi environnemental
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Il s'agit ici d'une catégorisation des bivalves (fouisseurs, non fouisseurs...), par rapport à la couche "Mollusques (REPHY, REPHYTOX) - extraction "Surval données par paramètre (point)". Plus concrètement, les mollusques se différencient en fonction de leur nature, notamment s'ils sont fouisseurs ou non fouisseurs. Ainsi, on les représente de manière distincte avec une sémiologie graphique particulière.
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Bulletin Sanitaire Végétale: nombre de parcelles à maturité par commune. (métadonnée en cours)
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The Southern Ocean plays a fundamental role in regulating the global climate. This ocean also contains a rich and highly productive ecosystem, potentially vulnerable to climate change. Very large national and international efforts are directed towards the modeling of physical oceanographic processes to predict the response of the Southern Ocean to global climate change and the role played by the large-scale ocean climate processes. However, these modeling efforts are greatly limited by the lack of in situ measurements, especially at high latitudes and during winter months. The standard data that are needed to study ocean circulation are vertical profiles of temperature and salinity, from which we can deduce the density of seawater. These are collected with CTD (Conductivity-Temperature-Depth) sensors that are usually deployed on research vessels or, more recently, on autonomous Argo profilers. The use of conventional research vessels to collect these data is very expensive, and does not guarantee access to areas where sea ice is found at the surface of the ocean during the winter months. A recent alternative is the use of autonomous Argo floats. However, this technology is not easy to use in glaciated areas. In this context, the collection of hydrographic profiles from CTDs mounted on marine mammals is very advantageous. The choice of species, gender or age can be done to selectively obtain data in particularly under-sampled areas such as under the sea ice or on continental shelves. Among marine mammals, elephant seals are particularly interesting. Indeed, they have the particularity to continuously dive to great depths (590 ± 200 m, with maxima around 2000 m) for long durations (average length of a dive 25 ± 15 min, maximum 80 min). A Conductivity-Temperature-Depth Satellite Relay Data Logger (CTD-SRDLs) has been developed in the early 2000s to sample temperature and salinity vertical profiles during marine mammal dives (Boehme et al. 2009, Fedak 2013). The CTD-SRDL is attached to the seal on land, then it records hydrographic profiles during its foraging trips, sending the data by satellite ARGOS whenever the seal goes back to the surface.While the principle intent of seal instrumentation was to improve understanding of seal foraging strategies (Biuw et al., 2007), it has also provided as a by-product a viable and cost-effective method of sampling hydrographic properties in many regions of the Southern Ocean (Charrassin et al., 2008; Roquet et al., 2013).
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Il s'agit des points de prélèvement d'eau côtières - tampon avec la couche "Bassins versants littoraux - tampon réalisé par rapport au trait de côte"
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Il s'agit de la capacité des stations de traitement des eaux usées par équivalent-habitant, différenciés en fonction de leur taille. - tampon avec la couche "Bassins versants littoraux - tampon réalisé par rapport au trait de côte"
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Evaluation de l’atteinte du bon état écologique au titre du descripteur 11 « Bruit sous-marin ». Ces cartes renseignent le critère D11C1 : Bruit impulsif anthropique (Primaire, Pression). Le critère D11C1 repose sur le recensement des jours d’émissions impulsives par trimestre par maille. Il est renseigné par deux indicateurs : l’indicateur « Risque de dérangement - Distribution temporelle et spatiale des émissions impulsives » qui prend en compte tout niveau acoustique potentiellement gênant et l’indicateur « Risque de surmortalité – Distribution temporelle et spatiale des émissions impulsives de niveau acoustique fort et très fort » qui considère uniquement les niveaux acoustiques forts et très forts. Les cartes ont été produites pour les fiches indicateurs. La totalité des cartes produites pour ce descripteur sont visualisables dans le rapport scientifique. Les données sources sont également accessibles à partir de cette fiche de métadonnée (Ressources associées).
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Il s'agit de la conformité des stations de traitement des eaux usées, exprimée par oui ou non. - tampon avec la couche "Bassins versants littoraux - tampon réalisé par rapport au trait de côte"
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Couche de points identifiant la position des plages sur le territoire de la Communauté d'Agglomération de la Rochelle. Information dans la table de la qualité des eaux de baignade sur ces plages (Classement selon la directive 2006/7/CE).
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Evaluation de l’atteinte du bon état écologique au titre du descripteur 11 « Bruit sous-marin ». Ces cartes renseignent le critère D11C2 : Bruit continu anthropique à basse fréquence (Primaire, Pression). L'évaluation de l’indicateur « Risque de masquage – Distribution spatiale du niveau de bruit ambiant (63 et 125Hz) » pour la région marine Manche Atlantique montre que : - Pour le tiers d’octave centré à 63 Hz, les niveaux de bruit ambiant sont de l’ordre de 100 dB re 1 µPa² en grands fonds (> 200 m), 90 dB re 1 µPa² sur le plateau, inférieur à 90 dB re 1 µPa² en côtier (< 12 mn des côtes) et atteignent 120 dB re 1 µPa² le long des grands rails de trafic maritime ; - Pour le tiers d’octave centré à 125 Hz, les niveaux de bruit ambiant sont de l’ordre de 95 dB re 1 µPa² en grands fonds, 85 dB re 1 µPa² sur le plateau, inférieur à 80 dB re 1 µPa² en côtier et atteignent 110 dB re 1 µPa² le long des grands rails de trafic maritime ; - Maximum annuel par unité de surface (maille) des moyennes mensuelles pour la Sous-Région Marine (SRM) Manche-Mer du Nord : 28% de la surface de l’UMR présente une tendance positive et 72% une tendance stable ; - Maximum annuel par maille des moyennes mensuelles pour la SRM Mers Celtiques : 38% de la superficie évaluée sur le cycle a une tendance positive et 62% une tendance stable ; - Maximum annuel par maille des moyennes mensuelles pour la SRM Golfe de Gascogne : 7% de la superficie évaluée sur le cycle a une tendance positive et 93% une tendance stable ; - Maximum annuel des moyennes mensuelles pour la Sous-Région Marine (SRM) Méditerranée : 98% de la superficie évaluée sur le cycle présente une tendance stable du bruit généré par le trafic maritime ; - En l’absence d’un consensus entre les Etats Membre sur la définition de seuils quantitatifs, aucune conclusion n’a pu être rendue au niveau de cet indicateur Les cartes ont été produites pour les fiches indicateurs. La totalité des cartes produites pour ce descripteur sont visualisables dans le rapport scientifique. Les données sources sont également accessibles à partir de cette fiche de métadonnée (Ressources associées).
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Evaluation de l’atteinte du bon état écologique au titre du descripteur 10 « Déchets marins ». Ces cartes renseignent le critère D10C1. Le critère D10C1 - Déchets (hors micro-déchets) est défini comme « Composition, quantités et distribution spatiale des déchets sur les côtes, à la surface, dans la colonne d’eau et sur les fonds marins, à un niveau qui n’affecte pas l’environnement côtier et marin ». Ce critère est renseigné par trois indicateurs : les déchets sur le littoral, les déchets flottants et les déchets sur les fonds marins. Les déchets flottants pour les SRM MMN, MC et GdG, sont majoritairement des déchets plastiques. Pour les trois SRM, les déchets plastiques sont suivis par les déchets des catégories bois, non défini et issus de la pêche. Les déchets en papier/carton ainsi que les Plastiques à Usage Unique (PUU) sont les moins abondants dans les trois SRM avec des densités moyennes de déchets nulles. Les déchets flottants dans la SRM MO sont majoritairement des déchets plastiques (densité moyenne de 38.42 unités/km²). Les déchets de toutes les autres catégories sont largement moins importants que les plastiques (densités moyennes < 2 unités/km²). Les déchets sur les fonds marins pour les SRM MMN, MC et GdG, étaient majoritairement des déchets plastiques. Pour les trois SRM, après les plastiques, les déchets les plus courants sont généralement les engins de pêche et les Plastiques à Usage Unique (PUU). Les déchets les plus abondants après ces trois catégories sont les textiles (habit/fibre naturelle) et les caoutchoucs pour la SRM MMN, les verres et céramiques, et les caoutchoucs pour la SRM GdG, les métaux et textiles pour la SRM MC. Les déchets en verre et céramique ainsi qu’en papier/carton sont les moins abondants en SRM MMN. Ces deux catégories sont également les moins importantes avec les déchets en bois usiné/travaillé en SRM MC. Enfin, seuls les déchets en papier/carton sont les moins importants en SRM GdG. Les déchets sur les fonds marins dans la SRM MO, étaient majoritairement des déchets plastiques suivis par les Plastiques à Usage Unique (PUU) et par des déchets en verre/céramique. Les déchets les plus abondants après ces trois catégories étaient les textiles (habit/fibre naturelle) et les métaux. Les déchets en bois usiné/travaillé ainsi qu’en caoutchouc étaient les moins importants. Les cartes ont été produites pour les fiches indicateurs. La totalité des cartes produites pour ce descripteur sont visualisables dans le rapport scientifique. Les données sources sont également accessibles à partir de cette fiche de métadonnée (Ressources associées).