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  • Phenotypic plasticity, the ability of a single genotype to produce multiple phenotypes, is important for survival when species are faced with novel conditions. Theory predicts that range-edge populations will have greater phenotypic plasticity than core populations, but empirical examples from the wild are rare. The honeycomb worm, Sabellaria alveolata (L.), constructs the largest biogenic reefs in Europe, which support high biodiversity and numerous ecological functions. In order to assess the presence, causes and consequences of intraspecific variation in developmental plasticity and thermal adaptation in the honeycomb worm, we carried out common-garden experiments using the larvae of individuals sampled from along a latitudinal gradient covering the entire range of the species. We exposed larvae to three temperature treatments and measured phenotypic traits throughout development. We found phenotypic plasticity in larval growth rate but local adaptation in terms of larval period. The northern and southern range-edge populations of S. alveolata showed phenotypic plasticity for growth rate: growth rate increased as temperature treatment increased. In contrast, the core range populations showed no evidence of phenotypic plasticity. We present a rare case of range-edge plasticity at both the northern and southern range limit of species, likely caused by evolution of phenotypic plasticity during range expansion and its maintenance in highly heterogeneous environments. This dataset presents the raw image data collected for larval stages of Sabellaria alveolata from 5 populations across Europe and Northern Africa, exposed to 15, 20 and 25 C. Included are also opercular crown measurements used to estimate de size classes of individuals present in each population.  All measurements made with the images collected are presented in an Excel spreadsheet, also available here.

  • L’Indice de Confort Thermique Urbain traduit la sensibilité morphologique d’un lieu à l’effet ICU (ilot de chaleur urbain), en tout point de la métropole, à une précision de 2m x 2m. Cette sensibilité morphologique est liée à :  - La densité de bâti, favorise ICU - La présence du minéral au sol, favorise ICU - La qualité végétale : densité et stress hydrique, favorise IFU (ilot de fraicheur urbain) - La qualité de la canopée : densité et stress hydrique favorise IFU Cet indice varie de 0 (IFU) à 3 (ICU). Un espace ICU n’est pas forcément le plus chaud à tout instant de la journée et de la nuit, c’est un espace qui aura une température moyenne diurne et nocturne plus élevée que le reste des espaces urbains. 

  • Ce jeux de données croise la fragilité sociale et économique de la population (jeunes enfants, personnes âgées, ménages isolés, ménages pauvres…), la qualité de leur logement (morphologie, situation, propriété…), et la proximité à un ilot de fraîcheur et de services potentiellement frais. Les secteurs inhabités (zones commerciales, zones d’activités) ne sont donc pas étudiés. Deux indicateurs de vulnérabilité à la chaleur sont calculés et proposent 6 classes de vulnérabilité de la plus faible à la plus forte : Une vulnérabilité « critique », calculée en fonction des températures de surface enregistrées par Landsat 17.06.2022, soit un des jours les plus chauds de l’été 2022. Cet indicateur révèle les territoires les plus vulnérables sur la métropole en cas de forte chaleur. Une vulnérabilité « générique », calculée en fonction de l’Indicateur de Confort Thermique (ICTU), produit par Verdi pour Bordeaux Métropole en 2022. Cet indicateur circonscrit les secteurs les plus vulnérables sur la métropole durant une période « normale » de chaleur estivale.