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  • Liste des ports bénéficiant du label "Pavillon bleu"

  • Dans le cadre de la directive Inspire de 2007, qui préconise aux États membres de l’UE le partage, l’échange, l’accessibilité et la mise à jour des données spatiales en matière d’environnement, et suite à la mission d’observation du littoral de 2005-2006 (rapportée dans le Schéma d’organisation des dispositifs de recueil de données et d’observation sur le littoral, établi sous la direction de Mme Catherine Bersani), la Direction Générale de l’Aménagement, du Logement et de la Nature (DGALN) du Ministère de l’écologie, de l’énergie du développement durable et de l’aménagement du territoire a confié au Centre d’Etudes Techniques de l’Equipement (CETE) Normandie Centre la reconstitution d’un Inventaire Permanent du Littoral (IPLI) national en s’appuyant autant que faire se peut sur les données d’occupation du Sol existantes localement. L’objectif de ce travail est de fournir une couche d’occupation du sol harmonisée et actualisée pour l’ensemble du littoral. Cette couche d’occupation du sol a également un rôle intermédiaire entre l’IPLI et les futurs travaux qui pourront être fait à partir d’une nouvelle orthophotographie qui est envisagée à l’horizon 2010-2012. Les données locales, qui ont été récoltées, répondent à des besoins locaux et à des spécificités régionales qui offrent une diversité dans l’information géographique. Pour pouvoir créer une base de données nationale de l’occupation du sol, il a fallu entreprendre un travail d’harmonisation des nomenclatures et des unités minimales de collecte. La nomenclature Corine Land Cover a servi de référence. Cette nouvelle base de données d’occupation du sol du littoral 2000-2006 "Litto_MOS" est mise en ligne sur le site du Géolittoral. Deux niveaux d'affichage sont disponibles: 1 - Une cartographie nationale au 1/25 000 (affichage optimal de l’information) avec une nomenclature du deuxième niveau de Corine Land Cover. 2 - Une cartographie départementale avec une information détaillée au quatrième niveau. Cette cartographie permet de conserver les spécificités régionales et la richesse de ces travaux.

  • Capacités des ports de plaisance, nombre d'anneaux ou de places par port de plaisance

  • Donnée de surveillance sur la qualité des eaux de baignade portant sur l’ensemble des zones où la baignade est habituellement pratiquée par un nombre important de baigneurs, qu’elles soient aménagées ou non, en eau douce ou de mer, et qui n’ont pas fait l’objet d’une interdiction portée à la connaissance du public. En pratique, les zones de baignade ou faisant partie d’une zone de baignade, les zones fréquentées de façon répétitive et non occasionnelle et où la fréquentation instantanée pendant la période estivale peut être supérieure à 10 baigneurs font l’objet de contrôles sanitaires.Quatre classes de qualité sont attribuées aux eaux de baignade : « insuffisante », « suffisante », « bonne » ou « excellente », en fonction des résultats des analyses obtenues pendant les 4 dernières saisons. Ce classement se fait en fonction des valeurs seuils fixées par la directive pour les paramètres Escherichia Coli et entérocoques intestinaux, leur présence dans l’eau pouvant indiquer une contamination d’origine fécale et la présence de germes pathogènes. Il doit y avoir au minimum 16 prélèvements utilisables pour attribuer un classement d’une zone de baignade. En plus des 4 niveaux de qualité décrits précédemment, une zone de baignade peut également être classée en : « Nouvelle baignade » : nouveau site pour lequel moins de 16 prélèvements ont été réalisés ; « Changements » : site dont la qualité de l’eau s’est améliorée suite à la réalisation de travaux, les prélèvements réalisés avant ces travaux ne sont alors plus pris en compte dans le calcul du classement ; « Insuffisamment de prélèvements » : site pour lequel les règles d’échantillonnage n’ont pas été respectées (nombre de prélèvements insuffisant, pas de prélèvement pré-saison ou écart entre deux prélèvements consécutifs supérieur à un mois).

  • Ces données traitées par l'Observatoire National de la Mer et du Littoral présentent les superficies totales des zones basses par département, le nombre total d'habitants, et le nombre d'habitants à moins de 1000 mètre de la côte. Les zones basses sont définies comme l’ensemble des territoires littoraux dont l’altitude est inférieure aux niveaux atteints par la mer lors de conditions extrêmes (occurrence centennale).

  • Périmètres de sécurité de 2, 5, 10 et 20 km de rayon autour des Installations Nucléaires de Base (INB) issues de la liste de l'Agence internationale de l'énergie atomique (IAEA), localisées par l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN)

  • Cette couche représente les protections des zones de dépose de munitions.

  • Emplacement des mouillages individuels et groupés.

  • Ces données traitées par l'Observatoire National de la Mer et du Littoral présentent les surfaces de résidences principales (m²) suivant la distance à la mer par département littoraux en 2010. Les résultats renseignent également sur le nombre d'habitants et la surface complète des bandes côtières afin de permettre le calcul de densités. Les bandes côtières considérées sont : 0 à 500 m ; 500 à 1 000 m ; 1 000 à 2 000 m ; 2 000 à 5 000 m ; 5 000 à 10 000 m.

  • Les couches haute résolution sont des couches thématiques d’occupation des sols, produites par le service Territoire du programme européen d'observation de la Terre Copernicus. Ce programme est coordonné par la Commission européenne et associe l’Agence spatiale européenne, l’Agence européenne pour l’environnement ainsi que les États membres. Ces données sont produites automatiquement à partir d’images satellite. Elles sont ensuite vérifiées puis améliorées manuellement. La production et la diffusion de ces couches haute résolution sont pilotées par l'Agence européenne pour l'environnement. Pour la France, le Service de l'observation et des statistiques du ministère chargé de l'environnement a la responsabilité des vérifications et des améliorations de ces produits. Le taux d’imperméabilisation des sols cartographie le pourcentage des sols imperméabilisés par pixels de 20 m de côté. Le revêtement des sols imperméabilisés, issu de l’artificialisation des terres, est maintenu en général sur de longues périodes. La surface minimale cartographiée est de 20 m x 20 m. Les valeurs cartographiées sont : - 0 : Zone non-imperméable - 1-100 : Taux d'imperméabilisation - 254 : Inclassable (nuage, donnée satellite indisponible, ombre ou neige) - 255 : En dehors de la zone d'étude Ces données haute résolution peuvent être utilisées indépendamment ou en complément de CORINE Land Cover. En effet, CLC permet de cartographier des polygones homogènes d’occupation des sols tels que du tissu urbain discontinu et des zones industrielles ou commerciales. Les couches haute résolution permettent alors d’apporter une nouvelle information pour chacune de ces zones, en précisant leur degré d’imperméabilisation, leur taux de couvert arboré, etc.