environnement-et-climat
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Relevé des entailles d’érosion marine dans le pied du versant externe du cordon dunaire que l'on nomme parfois « coup de cuillère » marine.
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A partir des relevés terrain effectués par les TFT ONF des entailles d'érosion marines (cuillères d'érosion) sur la côte sableuse, une donnée de synthèse est générée par maille de 1km de linéaire de littoral. A chaque maille est associé un pourcentage de linéaire côtier érodé.
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Dreal-TRI-Proba crue Faible-Subm
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Présentation de la donnée
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Relevé terrain de description de la morphologie, des corps sédimentaires et des formes de la plage réalisé chaque année au printemps et à l'automne (basé sur la typologie "le nindre"). Permet d'analyser et de caractériser les différents types de plage Au droit de chacun des 58 transects de suivi du BRGM, les techniciens ONF du réseau OCA réalisent une description bi-annuelle qui permet de réaliser des comparaisons qualitatives et ainsi décrire une évolution de la plage. En parallèle à cette description, une analyse quantitative est réalisée sur ces transects en comparant les hauteurs et les volumes de sable déplacé entre le relevé LIDAR effectué à l'automne et le relevé DGPS effectué au printemps par les personnels BRGM de l'OCA. L’objectif est de pouvoir qualifier l’état et l’évolution géomorphologique de la plage et quantifier les volumes de sables déplacés au droit de chaque transect entre le printemps et l’automne. L’analyse qualitative est effectuée à partir de la comparaison des fiches de description terrain relevées par les agents ONF lors de leurs sorties printemps et automne. 3 variables synthétiques d’évolution permettent de décrire les changements structurels et de forme de la plage : - Avant plage (type) - Arrière plage (type) - Arrière plage (forme) L’analyse quantitative est calculée à partir de la comparaison des profils en travers générés grâce aux levés GPS du printemps et la campagne de levés LIDAR d’automne. Les variables calculées sont les suivantes : - Volume total de sable déplacé - Volume de déblai - Volume de remblai - Volume de sable restant - Hauteur max de l’apport (si il y en a 1) Dans le cadre de la présence ou du moins de la création d’une berme entre le printemps et l’automne, les variables suivantes sont rajoutées : - Présence d’une berme - Distance de l’extrémité ‘OUEST’ au trait de côte - Distance de son ‘POINT SOMMITAL’ au trait de côte - Distance de l’extrémité ‘EST’ au trait de côte - Longueur de la berme - % de la berme par rapport à la largeur de la plage (la largeur de la plage correspond dans ce cas précis à la distance entre le trait de côte à l’est et la zone d’étiage à l’ouest) L'ensemble de ces éléments sont ensuite synthétisés à l'échelle de chaque transect de suivi et présenté sous la forme d'un vecteur de type ponctuel. Le reste de la restitution (analyse statistique qualitative et quantitative) est disponible au format excel.
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La Stratégie en faveur de la biodiversité en Nouvelle-Aquitaine adoptée le 18 décembre 2017 par le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine vise à « mener une action volontariste pour la biodiversité » (orientation C) à travers notamment la « préservation des espaces naturels remarquables ». En déclinaison de cette stratégie, la feuille de route de la transition environnementale et climatique Neoterra, adoptée par le Conseil régional le 9 juillet 2019, vise notamment le classement de 25 nouvelles réserves naturelles régionales d'ici 2030 et le doublement des terrains acquis par le Conservatoire des Espaces Naturels. Ces objectifs régionaux rejoignent les objectifs nationaux fixés par la Stratégie nationale pour les Aires Protégées 2030 publiée par le ministère de la Transition écologique et solidaire en janvier 2021, prévoyant que « d’ici 2022, 10% du territoire national et des eaux sous juridiction ou souveraineté seront couverts par des zones de protection forte qui seront effectivement gérées en 2030 ». Pour répondre à ces deux objectifs, le programme « Hotspots de biodiversité en Nouvelle-Aquitaine » a été engagé par le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine et la DREAL. Mis en œuvre par le Conservatoire botanique national Sud-Atlantique et la Ligne de protection des oiseaux en collaboration avec de nombreux acteurs naturalistes du territoire régional, ce programme vise à localiser et caractériser les secteurs de concentration d’enjeux de biodiversité à l’échelle régionale dans le but d’identifier les lacunes de protection et ainsi d’orienter l’action pour la préservation des espaces naturels terrestres remarquables. Pour identifier ces hotspots, la méthode mise en œuvre s’est appuyée sur les données d’observation collectées par les naturalistes régionaux, que ce soit dans le cadre d’échantillonnages systématiques ou dans le cadre de programmes de sciences participatives. Ce sont ainsi un peu plus de 14 millions de données faune et flore qui ont été mises en commun pour ce programme. Ce socle important de connaissances a ensuite été assemblé pour produire des cartes de répartition de plusieurs milliers d'espèces de faune et de flore. Pour cela, les données de terrain ont été complétées par des modèles statistiques qui cherchent à en améliorer la complétude et l’homogénéité, dans l’objectif de se rapprocher au maximum de la réalité des aires de répartition des espèces présentes sur le territoire régional. Dans un second temps, ce catalogue de cartes de répartition, produites pour 2 741 espèces (1), a été agrégé en utilisant des algorithmes de priorisation spatiale et en hiérarchisant les enjeux associés à chaque espèce au travers d’une échelle de bioévaluation. La méthode mise en place a ainsi permis de produire des cartes de synthèse opérationnelles pour les enjeux de biodiversité à l’échelle de la Nouvelle-Aquitaine. Ces cartes constituent un outil d’aide à la décision fonctionnel. La méthode mise en œuvre pour produire ces outils spatiaux d’aide à la décision induit plusieurs propriétés intéressantes : - Tout d’abord, ces outils sont souples et rendent possible des approches multiples pour mettre en regard les hotspots de biodiversité avec les aires sous protection forte, selon les objectifs de l’opérateur. Ils permettent ainsi de mettre l’accent soit sur des accumulations locales d'enjeux (enjeux cumulés), soit sur les cœurs de répartition d’espèces sensibles (enjeux spécifiques) ; de mener des approches ciblant la faune et/ou la flore de manière séparée ou regroupée ; ou encore d’ajuster le seuil surfacique (fraction supérieure des enjeux) que l’on souhaite prendre en compte ; - Ces outils sont également robustes car ils s’appuient sur une mise en commun inédite de près de 14 millions de données récentes sur la faune et la flore régionales, reflet de la somme des connaissances naturalistes disponibles en Nouvelle-Aquitaine ; - Enfin, la précision (grain spatial de 1x1 km), elle-aussi inédite à ce jour, permet un gain significatif par rapport aux données d’Atlas d’une résolution de 5x5 km ou 10x10 km. Cette cartographie hiérarchisée des enjeux de biodiversité présente ainsi la faune et la flore de Nouvelle- Aquitaine sous un nouveau jour et met en évidence les territoires potentiellement les plus sensibles pour faciliter à l’avenir la reconnaissance et la protection de ce patrimoine inestimable. (1) : Groupes intégrés : plantes vasculaires, amphibiens, mammifères (dont les chiroptères), odonates, oiseaux, reptiles, rhopalocères et à quelques espèces de coléoptères saproxyliques
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La Stratégie en faveur de la biodiversité en Nouvelle-Aquitaine adoptée le 18 décembre 2017 par le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine vise à « mener une action volontariste pour la biodiversité » (orientation C) à travers notamment la « préservation des espaces naturels remarquables ». En déclinaison de cette stratégie, la feuille de route de la transition environnementale et climatique Neoterra, adoptée par le Conseil régional le 9 juillet 2019, vise notamment le classement de 25 nouvelles réserves naturelles régionales d'ici 2030 et le doublement des terrains acquis par le Conservatoire des Espaces Naturels. Ces objectifs régionaux rejoignent les objectifs nationaux fixés par la Stratégie nationale pour les Aires Protégées 2030 publiée par le ministère de la Transition écologique et solidaire en janvier 2021, prévoyant que « d’ici 2022, 10% du territoire national et des eaux sous juridiction ou souveraineté seront couverts par des zones de protection forte qui seront effectivement gérées en 2030 ». Pour répondre à ces deux objectifs, le programme « Hotspots de biodiversité en Nouvelle-Aquitaine » a été engagé par le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine et la DREAL. Mis en œuvre par le Conservatoire botanique national Sud-Atlantique et la Ligne de protection des oiseaux en collaboration avec de nombreux acteurs naturalistes du territoire régional, ce programme vise à localiser et caractériser les secteurs de concentration d’enjeux de biodiversité à l’échelle régionale dans le but d’identifier les lacunes de protection et ainsi d’orienter l’action pour la préservation des espaces naturels terrestres remarquables. Pour identifier ces hotspots, la méthode mise en œuvre s’est appuyée sur les données d’observation collectées par les naturalistes régionaux, que ce soit dans le cadre d’échantillonnages systématiques ou dans le cadre de programmes de sciences participatives. Ce sont ainsi un peu plus de 14 millions de données faune et flore qui ont été mises en commun pour ce programme. Ce socle important de connaissances a ensuite été assemblé pour produire des cartes de répartition de plusieurs milliers d'espèces de faune et de flore. Pour cela, les données de terrain ont été complétées par des modèles statistiques qui cherchent à en améliorer la complétude et l’homogénéité, dans l’objectif de se rapprocher au maximum de la réalité des aires de répartition des espèces présentes sur le territoire régional. Dans un second temps, ce catalogue de cartes de répartition, produites pour 2 741 espèces (1), a été agrégé en utilisant des algorithmes de priorisation spatiale et en hiérarchisant les enjeux associés à chaque espèce au travers d’une échelle de bioévaluation. La méthode mise en place a ainsi permis de produire des cartes de synthèse opérationnelles pour les enjeux de biodiversité à l’échelle de la Nouvelle-Aquitaine. Ces cartes constituent un outil d’aide à la décision fonctionnel. La méthode mise en œuvre pour produire ces outils spatiaux d’aide à la décision induit plusieurs propriétés intéressantes : - Tout d’abord, ces outils sont souples et rendent possible des approches multiples pour mettre en regard les hotspots de biodiversité avec les aires sous protection forte, selon les objectifs de l’opérateur. Ils permettent ainsi de mettre l’accent soit sur des accumulations locales d'enjeux (enjeux cumulés), soit sur les cœurs de répartition d’espèces sensibles (enjeux spécifiques) ; de mener des approches ciblant la faune et/ou la flore de manière séparée ou regroupée ; ou encore d’ajuster le seuil surfacique (fraction supérieure des enjeux) que l’on souhaite prendre en compte ; - Ces outils sont également robustes car ils s’appuient sur une mise en commun inédite de près de 14 millions de données récentes sur la faune et la flore régionales, reflet de la somme des connaissances naturalistes disponibles en Nouvelle-Aquitaine ; - Enfin, la précision (grain spatial de 1x1 km), elle-aussi inédite à ce jour, permet un gain significatif par rapport aux données d’Atlas d’une résolution de 5x5 km ou 10x10 km. Cette cartographie hiérarchisée des enjeux de biodiversité présente ainsi la faune et la flore de Nouvelle- Aquitaine sous un nouveau jour et met en évidence les territoires potentiellement les plus sensibles pour faciliter à l’avenir la reconnaissance et la protection de ce patrimoine inestimable. (1) : Groupes intégrés : plantes vasculaires, amphibiens, mammifères (dont les chiroptères), odonates, oiseaux, reptiles, rhopalocères et à quelques espèces de coléoptères saproxyliques
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Emissions du N2O de gaz à effet de serre Millésime : 2012
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Plan de Prévention des Risques mouvement de terrain sur les communes de la Nouvelle-Aquitaine Etat avancement au 30/06/23 MAJ 08/2023
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La Stratégie en faveur de la biodiversité en Nouvelle-Aquitaine adoptée le 18 décembre 2017 par le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine vise à « mener une action volontariste pour la biodiversité » (orientation C) à travers notamment la « préservation des espaces naturels remarquables ». En déclinaison de cette stratégie, la feuille de route de la transition environnementale et climatique Neoterra, adoptée par le Conseil régional le 9 juillet 2019, vise notamment le classement de 25 nouvelles réserves naturelles régionales d'ici 2030 et le doublement des terrains acquis par le Conservatoire des Espaces Naturels. Ces objectifs régionaux rejoignent les objectifs nationaux fixés par la Stratégie nationale pour les Aires Protégées 2030 publiée par le ministère de la Transition écologique et solidaire en janvier 2021, prévoyant que « d’ici 2022, 10% du territoire national et des eaux sous juridiction ou souveraineté seront couverts par des zones de protection forte qui seront effectivement gérées en 2030 ».